Nous avons des nouvelles ! Uresta a été mentionné dans les dernières directives cliniques publiées par la Société des obstétriciens et gynécologues du Canada (SOGC) comme l'une des solutions pour la prise en charge conservatrice de l'incontinence à l'effort (c.-à-d. sans intervention chirurgicale).
La Société des obstétriciens et gynécologues du Canada (SOGC) publie tous les quatre ans des directives cliniques sur divers problèmes de santé des femmes. Les obstétriciens et les médecins de famille s'appuient fortement sur ces directives comme référence en matière de soins. Cette recommandation contribue grandement à valider l'efficacité d'Uresta et sa nature non invasive dans la prise en charge de l'incontinence urinaire à l'effort (IUE).
Examinons de plus près la directive clinique SOGC n° 397 - Prise en charge conservatrice de l'incontinence urinaire chez la femme et décomposons ses cinq recommandations clés pour la prise en charge conservatrice de l'incontinence à l'effort.
Recommandations clés pour la prise en charge conservatrice de l'incontinence d'effort - Directive clinique de la SOGC :
1. Gestion du mode de vie pour l'incontinence d'effort
L'article de la SOGC souligne l'importance des modifications du mode de vie dans la gestion de l'incontinence urinaire. Par exemple, des facteurs tels que l'obésité et le tabagisme peuvent augmenter le risque d'incontinence urinaire. En revanche, la perte de poids, les changements de régime alimentaire et l'arrêt du tabac sont des modifications du mode de vie qui peuvent avoir un impact positif sur les symptômes.
En outre, l'article indique que des changements alimentaires, tels que la réduction de la consommation de liquides ou l'évitement des irritants de la vessie comme le café, le thé et les boissons gazeuses (même sans caféine), peuvent également aider à gérer les symptômes de l'incontinence urinaire. Il peut être conseillé aux patients d'éviter la caféine, l'alcool et les aliments acides ou épicés. L'article souligne également l'importance d'aller régulièrement à la selle, car la constipation peut contribuer aux symptômes de l'incontinence urinaire.
2. Entraînement des muscles du plancher pelvien
Les exercices des muscles du plancher pelvien, également connus sous le nom d'exercices de Kegel, sont une composante essentielle des soins conservateurs pour l'incontinence urinaire. L'article fournit des instructions détaillées sur la manière d'effectuer les exercices du plancher pelvien et suggère de les incorporer dans les routines quotidiennes afin d'en maximiser l'efficacité.
L'article indique que les patientes doivent recevoir des instructions appropriées sur la manière d'effectuer les exercices des muscles du plancher pelvien afin de s'assurer qu'elles engagent les bons muscles. Il peut leur être conseillé de contracter les muscles du plancher pelvien pendant un certain temps, puis de les relâcher pendant un certain temps. L'article suggère d'augmenter progressivement la durée et l'intensité des exercices en fonction de la tolérance.
En savoir plus sur les exercices de Kegel et sur la façon de les pratiquer.
3. Gestion comportementale de l'incontinence
Les techniques de gestion comportementale peuvent aider les patients à identifier et à traiter les facteurs déclencheurs susceptibles d'aggraver les symptômes de l'incontinence urinaire. L'article suggère aux patients de tenir un journal de la vessie pour suivre leur consommation de liquide, leur fréquence urinaire et les épisodes d'incontinence. Ces informations peuvent aider les patients à identifier des schémas et à modifier leur comportement.
Il peut également être conseillé aux patients d'utiliser des techniques de miction programmée, c'est-à-dire de vider leur vessie à intervalles réguliers plutôt que d'attendre d'avoir envie d'uriner. L'article précise que les patients peuvent avoir besoin d'augmenter progressivement l'intervalle entre les mictions au fur et à mesure qu'ils acquièrent le contrôle de leur vessie.
4. Dispositifs mécaniques intravaginaux (pessaires), y compris le pessaire Uresta
Les dispositifs mécaniques intravaginaux (également appelés pessaires) peuvent soulager l'incontinence en soutenant le col de la vessie et l'urètre par insertion vaginale.
C'est là que nous intervenons ! L'article de la SOGC présente Uresta comme un pessaire pour l'incontinence cliniquement éprouvé. Uresta est conçu pour soutenir l'urètre et réduire l'incontinence urinaire d'effort. Le pessaire Uresta est fait de silicone de qualité médicale et est inséré dans le vagin, comme un tampon. Elle peut être portée pendant les activités normales, comme l'exercice, et peut être facilement retirée pour être nettoyée et réutilisée.
Les lignes directrices reconnaissent que ces dispositifs peuvent apporter un soulagement efficace et immédiat de l'incontinence et que la confiance des femmes s'est améliorée avec l'utilisation de dispositifs médicaux intravaginaux, comme le support de vessie Uresta.
Les directives de la SOGC soulignent l'importance des solutions de prise en charge conservatrice de l'incontinence urinaire à l'effort, et Uresta a été reconnu comme une solution de pointe pour la prise en charge non invasive de l'incontinence urinaire à l'effort. En intégrant ces recommandations à leurs habitudes quotidiennes, les femmes peuvent espérer gérer leurs symptômes d'incontinence urinaire et améliorer leur qualité de vie sans avoir recours à la chirurgie.
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La Dre Sinéad Dufour est professeure agrégée de clinique à l'Université McMaster et possède une expertise en physiothérapie et en sciences de la réadaptation. Ses recherches portent sur la prise en charge conservatrice du dysfonctionnement du plancher pelvien, la collaboration interprofessionnelle pour la santé pelvienne et la douleur de la ceinture pelvienne liée à la grossesse. Le Dr Dufour est un membre actif de la SOGC et a dirigé l'élaboration de plusieurs directives cliniques. Elle est également conseillère clinique auprès d'entreprises spécialisées dans la santé des femmes et donne fréquemment des conférences internationales, animée par sa passion pour l'optimisation des soins périnatals et la promotion de la santé pelvienne des femmes.
Maria Wu est urogynécologue universitaire et professeur adjoint à l'université Western, avec une pratique clinique en urogynécologie et en gynécologie générale. Ses recherches portent sur les résultats rapportés par les patients en urogynécologie, les résultats de la chirurgie du plancher pelvien chez les femmes atteintes d'un cancer gynécologique et la recherche sur les données administratives de santé. Le Dr Wu participe également à plusieurs comités nationaux et internationaux, dont le comité scientifique de la Société canadienne de médecine pelvienne et le comité d'urogynécologie de la Société des obstétriciens et gynécologues du Canada. Elle aspire à devenir un chef de file dans la recherche sur la médecine pelvienne féminine, notamment en élaborant des lignes directrices canadiennes pour la pratique clinique en urogynécologie.